La Monusco a pris acte et regrette, le mercredi 3 août, la décision du gouvernement Congolais, par le billet du Vice-Premier Ministre, ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula demandant à un membre de son personnel de quitter le pays. Le gouvernement de la RDC exige le départ de Mathias Gillmann, porte-parole de la Monusco.
La mission onusienne a ainsi exprimé son regret dans un communiqué de presse. Dans ce document, elle s’est engagée tout de même à continuer de travailler aux côtés de la population et des autorités congolaises pour mettre en œuvre le mandat qui lui a été confié par le Conseil de sécurité.
Dans une note datée du 28 juillet dernier, le vice-Premier ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, a estimé que les tensions actuelles entre la Monusco et la population seraient dues « aux déclarations indélicates et inopportunes du porte-parole de la Monusco ».
Rédaction