De la discussion jaillit la lumière. Mais, au lualaba, du conflit politique naît le repositionnement. Le saga Richard Muyej et Fifi Masuka déchire les agents de l’hôtel du gouvernement et certains Lualabais. Comme s’ils ne servaient pas la nation congolaise, mais des agents voués à s’assurer de la réputation dans leurs maîtres.
Le gouvernorat du Lualaba peint une image d’une équipe qui livre un sparring-partner à l’allure d’une finale de la coupe du monde.
Ça passe ou ça casse, voilà le jeu dans lequel les locataires de ce bâtiment intelligent s’engagent. Sans vergogne, la toile s’enflamme avec des messages de tout bord. Les agents qui devraient s’unir pour une cause noble, faire avancer la deuxième institution de la province, se font de coups bas en public afin de se tailler une bonne image devant leurs chefs directs et surtout voler leur confiance (Muyej-Fifi).
Tout se règle sur les réseaux sociaux
Les murs ont des oreilles et les briques parlent. Il ne suffit pas seulement de sionner cette bâtisse pour en savoir long, les réseaux sociaux restent un livre ouvert qui transmet la santé du gouvernorat de province.
Deux camps se dessinent, tout le monde prend position et c’est le travail qui subit ce coup dur. Ne dit-on pas que les hommes passent et les institutions restent ?
La question qu’on se pose, le gouvernorat du lualaba a ses propres agents ou bien les agents des personnes physiques ?
Répondre qui pourra
Pour rappel, cette tension politique est partie d’une lettre du Vice-gouverneur adressée aux députés provinciaux du Lualaba révélant plusieurs informations longtemps gardées secrètes par le camp Muyej.
BMK
