Le peuple congolais qui a accédé à son indépendance depuis 1960 continue à demeurer dépendant des autres Etats vis-à-vis des certaines décisions allant à restreindre la liberté démocratique des citoyens.
Dans beaucoup d’États sur la planète, les dirigeants se référent toujours au quotidien et la nécessité de leurs peuples respectifs avant toute prise de mesure, cependant, la RDC à l’état actuel traverse un calvaire qui ne permet à personne de vivre avec aisance, les différentes personnes se ressourcent en fonction des activités qu’elles mènent pour avoir quoi mettre sous la dent et assumer les multiples responsabilités qu’elles assument, nous avons cette catégorie des autres noctambules, n’oeuvrant que tard dans la nuit ou en outre leurs occupations professionnelles ne peuvent être rentables que pendant ces heures, tous nous ne vivons pas de même manière.
Je ne sais pas si le film de l’élève Ducobu tire son origine en France, mais aujourd’hui il est populaire et actuellement très célèbre et ponctuel dans mon pays, ce qui se conçoit clairement, se dit librement et les mots pour le dire arrivent aisément, ça ne vaut pas la peine de vivre en comparaison aussi longtemps que nous patogeons et n’avons pas encore triompher ne serait-ce que la faim.
D’après quelle étude menée, on atteste que la propagation du virus se fait la nuit ? Ne politisons pas la liberté des congolais, ne justifions pas notre échec, ne cherchons pas à se défendre là où l’erreur a été constatée et ne penalisons pas nos pauvres enfants, frères et sœurs qui doivent aller à l’école et à l’université seulement parce que nous n’arrivons pas à accomplir ce qu’on avait promis, l’erreur est humaine, échouer c’est normal, réussir est une surprise.
D’où, ce couvre-feu tendant à un confinement progressif n’a pas sa raison d’être prononcé aussi longtemps que ce peuple peine gravement. Nous en avons marre.
Rédaction
