La situation est une première et inédite. Dans une province comptant plus de 6 tribus d’autocthones, une seule, « ndembu » s’empare avec tous les postes du bureau de l’organe délibérant du Lualaba.
Après un bureau d’âge 100% ndembu, les batteries étaient mises en marche pour freiner les candidatures des députés issus des autres tribus, déçus les députés provinciaux du Lualaba se sont retirés.
Pour les élus provinciaux, les Ndembu ont bénéficié d’un avantage déloyal et que des mesures doivent être prises pour rectifier cette injustice, et appellent la mise en place de mécanismes garantissant une représentation équitable de toutes les tribus.
Il reste à voir quelles mesures les autorités compétentes prendront pour répondre à cette situation et rétablir l’ordre.
Fifi Masuka Saïni confond le Lualaba avec ses années passées à la tête de l’Assondef
Ce plan minitieusement préparé s’appelle « Fifi Masuka Saïni », la puissante gouverneure qui tient mordicus à pérenniser son poste acquis sur base de violation des dispositions, alors que sa démission était attendu au lendemain de celui du gouverneur Muyej, car étant la colistière a sérieusement travaillé pour imposer cette situation.
Après les années passées à la tête de l’Assondef, Association des Ndembu et frères, une structure regroupant les Ndembu, une tribu originaire du Lualaba, la gouverneure sortante veut sans doute créer hécatombe après son départ car ce bureau définitif ne fera aucune unanimité face aux élus encore moins au prochaine executif.
Face à ce désordre bien organisé et sponsorisé, la population du Lualaba ne compte que sur les autorités compétentes pour fin à ce plan machiavélique.
Rédaction
