Union sacrée : l’électorat de 2023 du chef de l’Etat dépendra du travail qui sera fait pendant les trois dernières années (Me Mohamed Eyenga)

Cela fait déjà 6 jours depuis que le président de la République a amorcé les consultations au palais de la nation. Me Mohamed Eyenga, avocat au barreau de Lubumbashi et acteur politique, président fédéral du parti politique Envol, fait une analyse sur cette question de cobsultation.

Plusieurs personnes que Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a consulté depuis le lundi dernier, au sortir de l’audience, elles ne jurent que par la dissolution de l’assemblée nationale. Étant juriste de formation, Me Mohamed Eyenga explique :<< c’est quand le président de la République n’est plus en mesure de créer une majorité en sa faveur, c’est en ce moment là qu’il pourra faire recours à la dissolution de l’assemblée nationale >>.

<< d’une part vous avez les gens qui étaient animé d’une idée de faire changer les choses, d’apporter les valeurs dans la gestion de la Res Publica et d’autres part, vous avez les gens qui étaient habitué à toutes les anti-valeurs >>, ajoute-t-il.

Pour lui, l’initiation de ses consultations étaient opportunes du fait que << il y a un blocage à tout les niveaux, parce que son électorat dépendra du travail qui sera fait pendant les 3 dernières années >>.

Il faut noter que ses consultations se poursuivent sans désemparé, les grandes personnalités politiques ont répondus présent à cette invitation, à l’instar de Moïse Katumbi, Gabriel Kyungu, Bahati Lukwebo ont été reçu l’après-midi de ce samedi 07 Novembre par Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, chef de l’État.

Rédaction

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